Arrivée à la fin de l’été au sein de l’équipe du Polca en tant que volontaire en service civique, Mirella Gerges participe aux actions du pôle prévention. Pour le Mois de la gestion sonore, l’occasion était trop belle et nous avons saisi l’opportunité de lui poser quelques questions !
Prénom / Nom : Mirella Gerges
Age : 26 ans
Structure : Polca
Activité : Assistante Pôle Prévention des risques auditifs
Peux-tu nous parler de ton parcours
professionnel ?
Après une licence en langues étrangères, je me suis orientée vers le digital avec un master en communication, web et langues étrangères à l’Université de Reims
Champagne-Ardenne. C’est là que j’ai découvert les métiers du web en pleine
effervescence. J’ai été conquise par les possibilités offertes par ce domaine.
J’ai eu l’opportunité d’effectuer deux stages de longue durée en tant qu’assistante web dans des structures extrêmement différentes : l’un
à Reims Métropole et l’autre dans une agence de tourisme dans le Sud de la
France. Suite à cela, j’ai souhaité découvrir le secteur culturel, notamment
celui des Musiques Actuelles. Me voilà au Polca !
En quoi consiste cette activité ?
Mon rôle au sein du Polca est d’assister la coordinatrice du Pôle Prévention, Anne-Laure Prunier, dans les diverses actions menées pour sensibiliser, informer et prévenir les adolescents, le grand public et les professionnels des Musiques Actuelles de la région. Pour mettre à profit au mieux mes compétences en communication digitale, on m’a confié la réalisation de campagnes d’e-mailing, l’animation de la page Facebook du groupe Ouïe Fi, la création de supports graphiques, etc… En ce moment, nous sommes en plein Mois de la gestion sonore, une période assez
stimulante pour notre pôle.
Avec qui es-tu en relation ?
Je suis surtout en relation avec Anne-Laure, sinon je rencontre beaucoup de professionnels lors de réunions, salons
ou conférences. Il peut s’agir d’associations ou de musiciens adhérents, de partenaires et de membres d’équipes pédagogiques qui visent à démarrer un projet.
Quelles difficultés as-tu identifiées ?
La principale difficulté, mais aussi l’un des principes de la communication, c’est de se positionner en fonction du public ciblé. Il faut toujours se mettre à la place de son interlocuteur. Adopter un ton particulier, comprendre ce qu’il aime, ce qui l’intéresse pour attirer son attention et donc de bien faire passer notre message de prévention. Dans notre cas, il s’agit d’adolescents, de professionnels, de professeurs, et plus largement du grand public.
Qu’est-ce que tu apprécies le plus dans ce travail ?
Ce qui me plait le plus, c’est la diversité des missions et la part de créativité dans chacune d’elle. J’ai adoré tenir le stand de prévention au Cabaret Vert tout comme créer une affiche pour les bouchons d’oreilles ou consulter les réactions suscitées par une publication sur notre Facebook. On est aussi bien au contact du public derrière
un ordinateur que sur le terrain. Le tout dans une ambiance super sympa !
Quelles sont tes perspectives ?
Après mon service civique, je souhaiterais intégrer un poste de chargée de communication digitale. L’idéal serait dans une structure culturelle ou touristique. Peut-être découvrir un autre secteur encore !